Plusieurs fois évoqué lors de cet entretien, "l'effet post-Cannes" ne peut être négligé. La date de cet échange se situe une dizaine de jours après le retour du Festival de Cannes, période agitée et compliquée, où plus d'une cinquantaine de films sont vus par chacun parmi plusieurs centaines de propositions et au milieu de dizaines de milliers de festivaliers.
Cette période n'est pas seulement fatigante, elle est déstabilisante, perturbante mais revigorante, à la fois parce qu'elle offre une variété foisonnante et inégalée de films, à la fois parce qu'on baigne dans un monde qui présente toutes les facettes, imaginables ou non, allant du plus gigantesques des marchés aux marges les plus infimes.
Cette période n'est pas seulement fatigante, elle est déstabilisante, perturbante mais revigorante, à la fois parce qu'elle offre une variété foisonnante et inégalée de films, à la fois parce qu'on baigne dans un monde qui présente toutes les facettes, imaginables ou non, allant du plus gigantesques des marchés aux marges les plus infimes.
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