Aujourd’hui, la machine s’est définitivement emballée. Pour un distributeur comme celui de ce film, il semble que ne s’offre à lui qu’une alternative et encore :
Ce n'est donc pas qu'une question liée au marché, mais bien dû à de mauvaises habitudes prises par les professionnels du secteur, qui n'envisagent pas d'adopter collectivement une conduite raisonnable qui tienne compte de leur situation commune.
- soit accepter de ne tirer qu’un nombre proportionnellement limité de copies (par exemple dans notre cas 200) en sachant très bien qu’au maximum quatre semaines plus tard, l’encombrement des films chassera celui-ci des écrans, le plein des entrées n’étant alors pas atteint,
- soit faire le pari (cher) de tirer un maximum de copies, de l'ordre de 600, voire 900 copies…
Ce n'est donc pas qu'une question liée au marché, mais bien dû à de mauvaises habitudes prises par les professionnels du secteur, qui n'envisagent pas d'adopter collectivement une conduite raisonnable qui tienne compte de leur situation commune.